La fin du monde à été prévu de nombreuse fois de part les âges et les civilisations. La dernière date mise en avant par les médias et la culture occidentale est le 21 décembre 2012. En effet, selon certaines personnes, le calendrier Maya reconnu pour sont extrême précision (plus précis que le nôtre ! ), arriverait à la fin d’un cycle et donc serait annonciateur de la fin du monde. Pourtant il est bien fait mention d’un cycle et non d’une période donnée. Avec ce raisonnement, nous devrions avoir peur du calendrier que nous changeons tout les ans !

L’astrophysicien René Doyon, directeur de l’observatoire du mont mégantic, s’est penché sur ces théories apocalyptiques et nous explique simplement qu’il n’en sera rien. Pas d’alignement stellaire déformant la terre, pas de cataclysme dû au changement de position des pôles magnétique, pas d’éruptions solaires dévastatrices, pas de collision avec d’autre planète. 

Ce qui prédomine le plus dans ces « prédictions » ce sont les maladies, les tremblements de terre, météorites et autres événements catastrophiques supposés nous détruire ou tout du moins nuire grandement à l’humanité. Pourtant ce qui détruit le plus l’être humain depuis la nuit des temps, ce n’est pas les tsunamis, ni les volcans, mais bien l’être humain lui même. Qui devons-nous réellement craindre le plus ? La terre qui nous a donné la vie et l’espace qui nous a laissé vivre depuis des millions d’années, ou l’être humain qui s’obstine à faire des guerres pour avoir plus de pouvoir que son voisin ?

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